23 février 2011
TIGRE QUI PLEURE
Quand j'étais une parisienne brushinguée en escarpins, je dinais volontiers à l'hôtel Costes avec les copines. Certes, nos dîners étaient le plus souvent liquides, mais, de temps en temps, pleines de bonne volonté, on réservait une table qu'on finissait...